L’ANSES a été saisie en février dernier par la DGCCRF d’une demande d’évaluation de l’équivalence substantielle d’un jus de noni avec le jus de Morinda citrifolia L. Pour rappel, la commercialisation d’un premier jus de noni a été autorisée le 5 juin 2003 (règlement n°258/97). L’évaluation consiste à vérifier l’équivalence entre le produit proposé par le pétitionnaire et le produit référent en termes de composition, valeur nutritive, métabolisme, usage auquel il est destiné et teneur en substances indésirables.

Le Comité d’experts spécialisé « Nutrition humaine » qui a procédé à l’évaluation a relevé un manque d’informations concernant la fabrication industrielle du produit, sa composition et sa teneur en métaux lourds. En l’absence de ces données, ils ont conclu qu’il n’était pas possible de statuer sur le produit.

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Anne-Sophie Malhère. D’après un avis de l’ANSES
Source : www.lrbeva.com

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