Les représentants du patronat algérien ont réagi à la décision du gouvernement (relative à la suspension du processus de privatisation des grandes sociétés privées), en la déclarant de 'surprise et mauvaise', alors que ce même gouvernement n'avait pas cessé, pendant plusieurs années, de défendre cette stratégie.
Ils trouvent que cette décision nuit à la crédibilité des décisions et choix économiques adoptés par le gouvernement, toute en déplorant le fait qu'ils n'aient pas été impliqués dans le processus de privatisation depuis son lancement.