L’homme et l’animal ont toujours eu un rapport très fort. Hier, l’homme chassait l’animal, aujourd’hui il l’élève. Demain il le clonera comme c’est le cas aux Etats- Unis où le gouvernement à donner son autorisation pour une utilisation alimentaire même si cela n’est pas pour tout de suite.

Nous connaissions le « bio » pour les fruits et légumes, pour le lait, la notion du « bio » arrive aussi pour la viande, ce qui est assez nouveau. Le principal frein reste son prix élevé ainsi que sa disponibilité assez limité.

Avec une actualité chargée "fin des quotas laitiers…" l’industrie de l’élevage et l’industrie de la transformation sont en pleine mutation mais il est encore trop tôt pour voir ces changements.

Les échanges sont principalement intracommunautaires et il serait bon de profiter de ces changements pour exporter encore plus au-delà des frontières européennes car nos normes de sécurités et la qualité de nos produits sont reconnues mondialement.

Lors de la création de l’Europe, les échanges intra-communautaires furent présentés comme une force, maintenant que nous maitrisons ces échanges, il est temps de partir à la conquête du reste du monde. 

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